NOM&PRÉNOM : Giuseppe Licia Cantera (Pesaro : nom de jeune fille).
ÂGE&DATE DE NAISSANCE : 26 Mai 1984 - 26 ans.
NATIONALITÉ : italienne.
GROUPE : habitants.


TON ÉPOPÉE.

« Il n'est rien de plus dangereux que de sous-estimer une femme. La plupart des hommes en ont fait les frais. Cœur brisé, vie anéantie, réputation réduite à zéro. En quelques secondes, une femme peut faire de votre existence un véritable enfer. N'espérez pas que je sois différente... » Giuseppe se retournant en souriant, faisant face à l'homme qui allait devenir son mari. Il fronça les sourcils, perplexe. « Vous ne m'aimez pas beaucoup, n'est-ce pas? » Elle haussa les épaules dans un geste élégant. Tout ce que faisait cette femme était d'une inéluctable élégance. Marcher, parler, insulter, frapper. Exactement tout. Fille de bonne famille, il ne pouvait en être autrement, sa mère y avait veillé depuis sa plus tendre enfance. « Le terme n'est pas assez fort pour décrire le dégout que vous m'inspirez. » Elle commença à s'éloigner, lui fit un léger signe de tête lui ordonnant de la suivre. Il la rejoignit en accélérant le pas. Giuseppe n'était pas connue pour sa patience. Elle n'aimait pas non plus que l'on conteste son autorité. Elle se désignait comme une femme puissante et libre, agissant comme elle le voulait, quand elle le voulait et comme elle le voulait. Le seul à qui elle n'osait tenir tête était son paternel. Voilà pourquoi elle ne s'était pas opposé à ce mariage arrangé. Elle attendit que Otello la rejoigne pour approfondir sa pensée. « Vous devez savoir que notre mariage n'est pas mon idée. Mon père a été élevé dans l'ancienne tradition. Pour lui, il est de son devoir de me choisir un mari. Il est un peu vieux jeu, voyez-vous. Quand à moi... Je sais seulement où sont mes intérêts... » Il s'arrêta soudainement, l'attrapant par le bras, la forçant à se tourner vers lui. Il semblait vexer, ce qu'il la fit sourire cruellement. « Croyez-vous que passer le reste de ma vie avec une femme qui ne ressent aucun amour pour moi est ce dont j'avais rêvé? » Elle se dégagea brusquement. « Aucun homme n'en rêve. Mais tous agissent ainsi. C'est une question de pouvoir. Non, niez pas. Ce n'est pas la peine. » Elle lui caressa doucement la joue. « Je jouerais le jeu. Je serais une femme modèle, souriante, adorable, chaleureuse. Je vous donnerais un héritier lorsque ce sera le moment. Mais il faudra attendre. Ne me demandez rien d'autre. Il en va de votre intérêt et du mien... » Elle s'éloigna en riant doucement. « Passez une bonne fin d'après-midi mon cher Otello... »

« Giuseppe... Cette femme est une véritable sainte. Pourtant, elle a toujours été habituée au luxe. Vous savez, son père est le descendant d'une riche famille vénitienne. Et son mari est un des avocats les plus réputé de la ville. Vous pouvez être certain qu'elle ne manque d'absolument rien! Mais elle est bien la première à donner de sa petite personne pour aider les plus pauvres qu'elle. Elle a fait construire un orphelinat à Venise. Elle donne beaucoup d'argent aux associations caritatives. Ma cousine travaille pour elle en tant que domestique. Elle ne m'a dit que du bien de cette femme. Une véritable sainte, je peux vous l'assurer! » ♦ PASSANT INTERROGÉ AU HASARD DANS UNE RUE DE VENISE.

« Ma chère Giuseppe Cantera! Quel bonheur de vous trouver parmi nous! » « Cher ami, c'est une immense joie de vous revoir! » Elle détestait cet homme. Il était particulièrement répugnant, son regard pervers toujours fixé sur le moindre décolleté qui passait sous son nez. Giu en avait bien évidemment joué. Si cet homme était une ordure, il était également puissant. Et elle se devait d'être amis avec les personnes puissantes de cette ville. C'était ainsi qu'elle était passé maître dans l'art de la manipulation. Elle pouvait être la pire garce au monde et n'avoir aucun regret à réduire à néant vos rêves les plus chers, elle n'en restait pas moins une femme au coeur d'or. Toutefois, elle avait reçu une certaine éducation et était particulièrement intelligente. Elle savait qu'elle ne pouvait être gentille avec tout le monde. Chaque personne présente dans cette salle pouvait devenir un ennemi comme devenir un allié. Ici, on ne parlait pas d'amitié. La réputation, le pouvoir que l'on avait sur les autres. Ça, c'était important. Elle savait qu'elle ne vivait pas la meilleure des vies malgré tout l'argent qu'elle possédait. Manipuler était un pêché. Et si elle avait eu le choix, elle serait entrée dans les ordres dès sa majorité. Mais son père en avait décidé autrement. Chez la noblesse du 21ème siècle, les mariages arrangés étaient toujours de mise. A vingt ans, elle avait été promise à Otello Cantera, brillant étudiant en droit. D'ici deux années, il serait devenu l'avocat le plus réputé de la ville, son père étant un juge particulièrement respecté. A vingt-quatre ans, elle était liée à Otello, par les liens sacrés du mariage. Elle avait aujourd'hui vingt-six ans. Elle ne lui avait jamais accordé l'accès à son lit. Une grossesse la mettrait en position de faiblesse. Elle attendrait encore quelques années, le temps qu'elle se fasse une solide réputation. Qu'elle devienne intouchable. Qu'elle puisse vivre sans crainte. Jusque là, elle continuerait à vivre comme elle le faisait depuis six ans, ne se refusant absolument rien. Qu'il s'agisse de vêtements, de bijoux ou d'amants, s'amusant à rendre son mari fou de jalousie, aidant ceux qu'elle considère comme digne de confiance.

« Giuseppe est une femme compliquée, difficile à comprendre. On pourrait même la considérer comme une femme de l'ancien temps. Digne et respectée. Je la connais depuis toujours. Elle était absolument adorable lorsqu'elle était encore enfant. Puis, elle est entrée dans la vie active, s'est mariée à ce riche avocat. Corrompue par l'argent et le pouvoir. Manipulatrice, sans pitié pour ses ennemis, cruelle. Elle qui rêvait de devenir une femme d'église, la voilà qui couche à droite et à gauche, sans jamais accorder à son mari le droit de la toucher. Je ne les ai jamais vu s'embrasser. D'un autre côté, je vois bien qu'elle cherche à racheter son comportement. L'orphelinat par exemple. Elle a payé sa construction sans rien exiger en retour. Les associations à qui elle donne énormément d'argent. Les œuvres de charité qu'elle organise chaque année. Giuseppe est toujours la Giuseppe que j'ai connu. Elle a simplement grandie, comme chacun d'entre nous. Mais mieux vous en méfier. Je vous conseille vivement de devenir son ami plutôt que d'être son ennemi... » ♦ ALBERTA MORELLINI, VIEILLE AMIE DE LA FAMILLE PESARO.



PSEUDO : nessaleth(pea)
AVATAR UTILISÉ : cheryl cole.
COMMENTAIRES : Yaaaaaah mais c'est un forum de malaaaaaaades! j'aime, j'aime, j'aime!
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Cheryl Cole

Bienvenuuuuuue


merci de ton inscription et bonne continuation pour ta fiche

Bienvenue à toi, (C'est à ce demander si un jour il va y avoir d,autres mecs dans ce fo, car pour l'instant les personnages masculins manquent xD).

Bonne continuation dans ta fiche

Mes salutations les plus sincères,

Pauvre Michaelangelo x)
Bienvenue à toi <3
Bonne continuation pour ta fiche & si tu as des questions, hésites pas à nous contacter ;D

Bienvenue & Bonne Continuation pour ta Fiche

Merciiii tout le monde!

J'ai terminé ma fiche chef(s)!

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