Les fragments d’Eden sont des artefacts créés par la Première Civilisation, race supérieure qui serait les créateurs des humains. Ces derniers étaient, au tout début, des esclaves de cette civilisation supérieure. Les fragments d’Éden auraient été mis au point pour contrôler les l’espèce humaine grâce à des pouvoirs hypnotiques. Toutefois, à travers le temps, deux humains réussirent à résister à cette transe : Adam et Ève. Ensemble, ils volèrent une des Pommes d’Éden à leurs maîtres et s’échappèrent de l’endroit où ils étaient retenus. Aujourd’hui, les fragments d’Éden sont perçus par la race humaine comme des emblèmes religieux.

Les pouvoirs de ces fragments sont nombreux : le plus connu est l’hypnotisation, avec lequel il est possible de contrôler toute l’espèce humaine. D’autres d’entre eux sont capable de générer des illusions, alors que d’autres peuvent contrôler le temps ou encore proférer à son utilisateur une barrière protectrice impénétrable. Les Assassins et les Templiers croient que ces artéfacts sont à l’origine de tous les miracles et les phénomènes inexpliqués de l’histoire.

Il existe en tout 50 fragments d’Éden, tous dissimulés à différents endroits dans le monde. Les plus connus de ces pièces sont les 5 pommes, qui profèrent contrôle de la pensée, contrôle des actes physiques et création d’illusion. Le pouvoir de ces pommes peut être décuplé grâce au Bâton d’Éden, mieux connu aujourd’hui sous le nom de « Sceptre Papal ». Il existe également le Linceul de Turin, qui permettrait de guérir n’importe quelles maladies et blessures, voir même de ressusciter les morts. Ce serait ce morceau de lin qui aurait été placé sur le corps de Jésus à sa mort.

Chaque artéfact contient une très grande quantité d’énergie pure. La destruction d’un de ces fragments d’Éden est une tâche ardue : si toutefois vous y arrivez, cela entraînera une explosion aussi grosse que celle que pourrait causer une bombe nucléaire, exactement comme en 1908, dans la région de Tunguska, en Russie, lorsque la pièce connue sous le nom du « Bâton » fut anéanti par Nikola Tesla.